Typhons

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Typhons

Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Typhons
Auteur : s.a.
Date : 04 janvier 2022

Nom : Typhons
Classification : chromergang, large (est. 1000-2000).
Activités : production de cyberimplants illégaux, trafics de substances illicites, blanchiment d’argent, protection, contrebande d’armes de cyberimplants, kidnapping, cyberpsychoses volontaires.
Âge : Établi, actif.
Territoire : Vieux-Port de Montréal, Port de Montréal
Croissance : ascendante
Symbole : Tornade noire et rouge, avec six yeux rouges.
Couleurs : nombreux cyberimplants, souvent recouverts de chrome noir, la plupart sont à deux doigts de la cyberpsychose. Les membres portent généralement du cuir noir et rouge.

Les Typhons sont un booster gang qui dominent le crime organisé dans le district Ville-Marie. Le groupe a adopté une doctrine axée sur le combat et ses membres cherchent à toujours s’implanter le plus de cyberimplants possible. Souvent désorganisés et en conflit avec eux-mêmes, les activités criminelles des Typhons cherchent à répondre à leur besoin continu : toujours plus de cyberimplants et de drogues dures. Ces ressources sont utilisées pour le plaisir ou pour initier de nouveaux membres.

Les Typhons ont créé un large réseau de contrebande de cyberimplants et travaillent fréquemment dans le Port de Montréal. Tout civil qui aperçoit des membres de ce groupe est avisé de quitter les lieux et de se mettre en sécurité.

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Récupéré de : ‘La Mise à Jour de Montréal’ [majdemontreal.com]
Titre : Cyberpsychosé dans Ville-Marie
Auteur : Ian Lafrance
Date : 25 février 2023

CYBERPSYCHOSÉ DANS VILLE-MARIE
7 morts et 12 blessés, selon le SPVM

Les habitants de Ville-Marie ont été réveillés hier soir par la cacophonie d’une intervention de l’équipe MAX-TAC du SPVM, qui a tenté d’appréhender un cyberpsychosé en crise dans un ancien entrepôt du Vieux-Port. L’affrontement fourni entre les forces de l’ordre et le suspect aurait duré une dizaine de minutes, selon des témoins questionnés par la Mise à Jour.

Plusieurs des blessés se battent actuellement pour leurs vies.

Nous attendons encore les nouvelles informations sur les motifs et sur l’identité du suspect. L’équipe MAX-TAC a assuré, tôt ce matin, qu’ils avaient réussi à blesser le suspect. Le Service de Police de la Ville de Montréal n’a pas répondu aux demandes de renseignements de la Mise à Jour au moment de cette publication.

Suivez l’évolution de cette histoire dans l’édition de 12 h.

Mise à jour 12 h : Le SPVM révèle que le principal suspect pourrait être un membre important du groupe criminel « Typhons. » Il est connu sous le pseudonyme ‘Orage’ dans les rues, mais son identité antérieure est inconnue.

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Soeurs de la Statique

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Les Sœurs de la Statique

Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Sœurs de la Statique
Auteur : s.a.
Date : 04 janvier 2023

Nom : Sœurs de la Statique
Classification : Gang, moyen (est. 100-200).
Activités : piratage, vol de données, extorsion, conspiration, protection, développement et revente de logiciels illicites.
Âge : Nouveau, actif.
Territoire : Plusieurs blocs. Redlight (Downtown).
Croissance : stagnante
Symbole : Symbole de la triple déesse ou le pentacle, en mauve, bleu et noir.
Couleurs : varié, mais les vêtements des membres exhibent des symboles technopaïens. Tous les membres possèdent un médaillon rond, sur lequel est gravé le symbole de la triple déesse. Le médaillon contient un flash braindance lié à un rituel.

Les Sœurs de la Statique sont un groupe de netrunners, hackers et rebelles qui pratiquent une forme de technopaganisme. Les sœurs initiées auraient accès au « MERE », un micro NET créée par la fondatrice (maintenant disparue) des Sœurs de la Statique. Le netrunning des Sœurs est très ritualisé, en lien avec leurs croyances religieuses.

Ardemment anti-établissement et anti-patriarcat, les Sœurs de la Statique ne permettent qu’aux femmes d’être intégrées dans le groupe. Les Sœurs sont des pirates informatiques, qui cherchent à redonner les possessions des riches et puissants à leur communauté. Ils auraient, notamment, réussi des vols de données audacieux chez SovOil et chez Biotechnica. Les organismes en question nient qu’une telle brèche soit réellement arrivée.

Les Sœurs maintiennent également une variété de petits commerces de réparation de matériel électronique et possèdent la Maison de la Statique, une église convertie en refuge, bazar et lieu de pratique religieuse pour la communauté technopaïenne de Montréal.

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Récupéré de : ‘Ensemble’ [Ensemblemag.ca]
Titre : La résurgence du mouvement néopaïen à Montréal : enquête sur une sous-culture fascinante.
Auteur : Rebecca Bigras-Pruneau
Date : Mai 2022

Je suis dans une des pièces réservées d’un club de rave, comme il en existe tant d’autres. Pourtant, ce qui se déroule ici est… something else. J’ai été invité à observer un rituel communal unique en son genre.

Au centre de la pièce, sur une chaise, fixé sécuritairement, un homme dans la quarantaine vêtu de robes vertes, est connecté au NET. Il marmonne, décrit ce qu’il voit. Ses émotions semblent visibles dans la statique des écrans derrière lui : parfois, une image apparaît, une couleur, une distorsion. Les participants aux rituels se tiennent la main, écoutent le divinateur. Une autre, vêtue d’une simple robe, tourne autour du rituel, un encenseur en main, du sel dans l’autre. https://montreal.dataterm.ca/wp-content/uploads/2020/12/01-beatrix-soeurs.jpg

Sous la chaise, un pentacle est dessiné, encadré de chandelles rouges. Le netrunner prédit l’avenir en interfaçant avec le NET, m’explique mon contact Béatrix. Après le rituel elle m’explique comment certains païens et wiccans intègrent la technologie à leur pratique. Elle me présente le mouvement technopaïens. Nous quittons le club en direction du Redlight et en profitons pour discuter en prenant un café.

« Les païens donnent aux forces de la nature, aux choses, une force intérieure. Les pierres, les arbres, les forces de la nature ont un esprit, une force intérieure que nous devons respecter. », elle m’explique, entre deux gorgées de syncaf.

« Nous, les technopaïens, nous croyons la même chose, mais ajoutons à cela que les choses créées par les humains, elles aussi, ont un esprit. Même une télévision a un rôle et nous aide d’une certaine façon. Les technologies ont une force intérieure et nous nous devons de respecter ça. Le NET, encore plus ! C’est une machine avec des pouvoirs infinis, une force composée de données. Un espace qui existe… ailleurs, quelque part et nulle part et qui a un impact tellement important sur nos vies. »

Je lui demande si, dans leur religion, le NET est un dieu.

« Pour certains, oui. J’ai rencontré des gens qui voient le NET comme un dieu, au même titre que la Triple Déesse ou le Dieu Cornu. Perso, moi, ça me rejoint pas tant, mais j’get pourquoi certains interprètent le NET de cette façon. »

Béatrix est une "technosorcière" (Crédits: Miguel Nogueira)

Béatrix est une Sœur de la Statique, une sororité de pratiquantes de cette forme de technopaganisme. Elle m’invite à la Maison, un étrange mélange de lieu de culte technopaïen, de magasin de réparation d’électroniques et de refuge pour femmes victimisées sur la rue Sainte-Catherine. La Maison est dans une ancienne église récupérée du Redlight. Même au Redlight, où les néons ne sont que vaincus en densité par les travailleurs du sexe, il est difficile de manquer le pentacle de néon violet trônant sur la façade de la Maison.

Les Sœurs de la Statique ont gagné leur nom parce qu'elles ont développé différents rituels. Elles sont passées maîtres dans la divination par la technologie brisée, Béatrix m’explique, en m’invitant à entrer dans l’étonnant magasin où se vendent chandelles noires, encens et des Gameboy reconstituées. La statique, la distorsion des écrans, croient les sœurs, nous permettent de mieux comprendre l’avenir. Béatrix m’invite à tirer des cartes de tarot en utilisant un dispositif particulier. Elle me présente une table munie d’un étrange mélange d’une webcam connectée, dans un amalgame de films, à une télévision cathodique, à ma droite. Ce capteur, elle m’explique, nous permet d’obtenir des détails supplémentaires sur notre avenir lorsqu’elle fait de la divination. Elle me tire quelques cartes.

Alors qu’elle révélait l’impératrice, en deuxième qu’elle le place sous le capteur, elle remarque un problème d’affichage sur l’écran : un vacillement temporaire de la couleur dans le coin gauche de l’écran.

« Oooh ! Intéressant, ça. L’impératrice désigne fréquemment la fertilité, l’harmonie et l’abondance, mais en même temps, le glitch qu’on vient de voir, c’était par-dessus où je m’apprêtais à placer la prochaine carte. Les couleurs ont changé, il va falloir voir la prochaine, mais peut-être que cela signifie que ton besoin pour les nouvelles expériences viendra overshadow l’aspect dans la prochaine carte ? »

Le mouvement technopaïen continue d’attirer des nouveaux disciples. Béatrix, en me guidant à l’extérieur de la Maison, m’explique :

« Les gens sont écœurés. Ils sont tannés de se faire dire à quoi croire et que c’est un vieil Européen en robe dorée qui connaît les secrets de l’univers. Certains préfèrent devenir athées et prendre leurs distances avec leur spiritualité. Pour moi, et pour plusieurs, c’est pas la solution : notre monde moderne fait peut-être pas de sens, mais je sais, au fond de moi qu’il y a quelque chose d’autre.

Les étoiles, la phase de la lune, le son d’un ordinateur : c’est des choses qui nous permettent d’entrer en contact avec ces forces-là. Faut simplement savoir les écouter, savoir les interpréter et savoir s’en servir. Y’a quelque chose de… magique, à tout ça, et, en tout cas, moi, je veux recapturer ça : la magie qu’ils nous ont volée. »

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Roller Kings

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Roller Kings

Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Roller Kings
Auteur : s.a.
Date : 26 novembre 2022

Nom : Roller Kings
Classification : Gang, petit (est. 50-100).
Activités : vandalisme, violence politique, extorsion, trafic de stupéfiants
Âge : Nouveau, actif.
Territoire : Plusieurs blocs. Cité Multimédia (Ville-Marie).
Croissance : stagnante
Symbole : Initiales RK en bleu poudre par-dessus une couronne rouge.
Couleurs : les Roller Kings portent tous un blouson rouge et bleu et possèdent un cyberimplant au pied, des roulettes à la manière d’un patin à roulettes. Ils sont souvent coiffés à la manière des années 50.

Face du blouson typique d'un membres du gang Roller Kings

Les Roller Kings sont un petit groupe de jeunes adultes et d’adolescents qui semblent semer le chaos aléatoirement dans le secteur de la Cité Multimédia. En fait, les Roller Kings ont une culture centrée sur les dares : souvent, ceux-ci prennent la forme de vandalisme, mais ils peuvent aussi mener à des actes violents. Sinon, ce sont des fêtards : ils font bouger les party favors sur leur territoire et font souvent la tournée des clubs locaux.

Les Roller Kings valorisent leur indépendance et répondent violemment lorsque provoqués. Ils sont connus pour avoir une présence constante chez Bowlsky (patinoire et bowling), dans la Cité Multimédia.

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Récupéré de : ‘Twitbook’ [Twitbook.com]
Titre : QUELLE VILLE DE C (...)
Auteur : Alicia Poitiers
Date : 05 décembre 2022

QUELLE VILLE DE CUL !!!

J’adore vraiment Montréal, du fond du cœur, vraiment. Vous êtes des super gens, accueillants, et tout, mais pourtant COMMENT KE ÇA SE FAIT QUE CE SOIT LA TROISIÈME FOIS QUE QUELQUE CHOSE COMME ÇA M’ARRIVE ?

Je revenais d’une longue journée de tournage et là BAM, MA LIMO EST R U I N É E.

Imaginez-moi, devoir retourner CHEZ MOI dans ÇAAAAA. Les gens qui font ça aux autres n’ont aucune classe, vraiment horrible ! J’ai déjà fait une plainte à la police, ils vont essayer de nous aider et j’espère qu’ils vont retrouver les voyons qui ont fait ça ! >:(((

Ok, je termine mon rant, mais ça a vraiment gâché ma journée. J’vous en reparle, je vlog bientôt, bisouuuu

7.5 k réactions / 50 Partages / 639 Réponses

Image récupérée: wtfffffff.jpg [Twitbook.com]

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Los Muertos

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Los Muertos

Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Los Muertos
Auteur : s.a.
Date : 29 décembre 2022

Nom : Los Muertos
Classification : Crime organisé, large. (est. 4000-5000).
Activités : production et revente de stupéfiants, blanchiment d’argent, protection, contrebande d’armes et de matériel militaire.
Âge : Établi, actif.
Territoire : Grand Griffintown
Croissance : stagnante
Symbole : Crâne décoré à la Dia de Muertos, détails verts et violet, devant un souci orangé.
Couleurs : Vêtements noirs, avec vert et mauve et vert. Tatouages chrétiens lumineux (souvent mauve et vert), dédiés à la Santa Muerte, sur bras, torse, le visage. Les Muertos portent souvent un masque illuminé, décoré comme un calaveras, lorsqu’ils effectuent des opérations criminelles

Los Muertos (aussi connu sous le nom de Cartel Davalos) est une organisation criminelle qui atteindra bientôt ses dix ans. Elle prend ses origines dans la communauté mexicaine de la région du Veracruz, déracinée par Kiroshi dans l’objectif d’établir une main-d’œuvre contractée à Montréal. Après l’échec de leur tentative d’établir un centre de fabrication dans le Vieux-Port, Kiroshi abandonne les quelque 8 000 travailleurs à Montréal. Les hispanophones contractés, sans-le-sou, s’établirent ensuite en grande partie dans le Complexe Griffintown.

Principalement intéressé dans le trafic de stupéfiants, Los Muertos protège violemment leurs intérêts commerciaux. Los Muertos garde cependant une fonction défensive pour la communauté hispanophone de Griffintown.

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Récupéré de : ‘La Presse’ [lapresse.ca]
Titre : Éviction controversée à Griffintown : 21 morts, situation en développement
Auteur : Isabella Francesco
Date : 17 novembre 2018

Les manifestations continuent dans le quartier de Griffintown à Montréal, où une force militarisée de Militech a été contractée par la ville pour évincer les squatteurs du Complexe Griffintown. Il y a maintenant trois jours que le Conseil a ordonné le démantèlement de la communauté du Complexe, mais les forces de sécurité font face à une résistance féroce de la part des squatteurs. Hier soir, un affrontement musclé a causé la mort de 21 personnes, dont 9 employés de Militech, ainsi que plus d’une centaine de blessés.

« Les squatteurs ont obtenu de l’équipement militaire illégal. Nous avons capturé des fusils d’assauts, des explosifs et de l’équipement anti-véhicule. » lançait ce matin le Lieutenant-Gestionnaire Malcolm Brandon de Militech. « La résistance que nous rencontrons depuis plusieurs jours est le résultat de l’implication massive du groupe criminel des Muertos. Nous renégocions actuellement notre contrat avec la Ville, puisque ceux-ci ont fait fi de mentionner l’ampleur de la résistance prévue. »

Les citoyens sont avisés d’éviter le secteur du Complexe Griffintown jusqu’à la cessation des hostilités. Nous vous garderons au courant de l’évolution de cette histoire.

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Récupéré de : ‘La Mise à Jour de Montréal’ [majmontreal.com]
Titre : Un directeur de Kiroshi kidnappé
Auteur : Yves Moreno
Date : 14 janvier 2023

UN DIRECTEUR DE KIROSHI KIDNAPPÉ
Les criminels ont fait leurs demandes, rapporte WNS

Le Directeur de la compatibilité de Kiroshi Montréal, Yahiro Jotaro, a été kidnappé durant la nuit du 12 janvier annonçait hier un porte-parole du Service de Police de la Ville de Montréal. Il a assuré que le Service déployait tous les effectifs nécessaires afin de retrouver la victime.

« Nous ne négocions pas avec les terroristes ! » a lancé Viktor Breitner, un haut placé du SPVM présent à la conférence de presse. Les forces de l’ordre ont préféré éviter de révéler les responsables du crime au public, pour le moment. Ceci nous laisse présager que ceux-ci pourraient potentiellement être affiliée à une des corporations rivales du fabricant de cyberoptiques japonais.

La Mise à Jour vous gardera au courant de la situation, à l’heure près.

Mise à jour, 17 janvier, 9 h 24 : la Mise à Jour a découvert qu’une opération policière se serait déroulée dans le Complexe Griffintown durant la nuit du 16 janvier. Le SPVM a annoncé que M. Jotaro avait été retrouvé sain et sauf par une escouade d’intervention. Le SPVM accuse l’organisation criminelle Los Muertos d’avoir kidnappé le VIP de Kiroshi.

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Club Galant

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Club Galant

Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Club Galant
Auteur : s.a.
Date : 04 janvier 2023

Nom : Club Galant
Classification : Gang, moyen (est. 100-200).
Activités : blanchiment d’argent, activisme, violence politique
Âge : Nouveau, actif.
Territoire : Plusieurs blocs. Village Gai (Ville-Marie) et Redlight (Downtown).
Croissance : augmentation
Symbole : Des lèvres rouges ou rose. Comme un bisou.
Couleurs : Vêtements noirs, ou denim. Les manteaux du gang sont imprimés avec le symbole du bisou du Club.

Le Club Galant est une organisation criminelle organisée à la suite d’une intervention policière du club Marie-Madeleine, qui offrait des services de prostitution illégaux. Les membres de Marie-Madeleine se sont organisés et ont incendié la station de police locale (Station VM-06).

Le Club Galant veille à la protection des travailleurs et travailleuses du sexe, ainsi que des membres de minorités sexuelles sur leur territoire. Généralement non dangereux, le Club ne devient violent que lorsqu’ils se défendent ou pour attaquer un accusé.

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Récupéré de : ‘Mise à Jour de Montréal’ [majdemontreal.com]
Titre : Une escouade de police trouvée morte dans le Redlight
Auteur : Pierre Saint-Michel
Date : 14 septembre 2022

14 septembre 2022. Trois policiers ont été retrouvés morts ce matin, annonce le SPVM. L’attaque, que le SPVM qualifie de « terroriste », aurait eu lieu aux petites heures du matin. L’autopsie révèle que la mort aurait été causée par balles et par traumatisme contondant.

Un passant interviewé par le Journal, qui a préféré rester anonyme, dit avoir été témoin de la scène :

« Sont arrivé avec deux voitures. Une a foncé dans le char de police, l’autre s’est parké en arrière. Y’a six, non, sept, gangoons qui sont sorti. Les policiers ont essayé de se défendre, mais ils devaient être trop sonné, y’ont pas eu le temps de réagir vraiment. Ils ont tiré, mais ça a pas duré longtemps.

J’étais déjà en train de partir quand j’ai vu qu’ils avaient maîtrisé un des policiers, l’ont mis à genou. Y’a une voix de fille, j’m’en souviens, elle a dit qu’elle faisait ça pour ce qu’il avait fait à Sophie. Pis après, elle a tiré. J’avais déjà tourné le coin, à ce moment-là. J’ai rien vu d’autre. »

La voiture de patrouille a été retrouvée vandalisée, adornée d’un graffiti de lèvres rose et du nom d’un des officiers défunts. Les autorités continuent l’enquête.

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Récupéré de : ‘Canadian Entrepreneur Magazine’ [entrepreneurmag.com]
Titre : Rencontre avec Elizabeth Moss, propriétaire d’un bordel hors-la-loi
Auteur : Richard Lyons
Date : 04 janvier 2023

Entrepreneure, femme d’influence… proxénète ? Elizabeth Moss est la propriétaire du Club Madeleine, un club ultrapopulaire du Village gai de Montréal, un des seuls bordels indépendants de l’île de Montréal. Plus encore, un bordel en dehors de la délimitation de 2017, qui permettait le travail du sexe dans le quartier voisin, le Redlight. Le Canadian Entrepreneur Magazine a fait un tour à Montréal, pour discuter avec cette figure qui donne espoir à plusieurs à travers du pays.

Mme Moss m’accueille dans son bureau. Les murs ternes sont mis en relief par un nombre d’accessoires et des répliques de l’œuvre de Roy Lichtenstein. Son assistant me guide à un sofa confortable dans son bureau. Elizabeth Moss porte un pantalon noir, couplé d’un débardeur fuchsia et d’une veste de denim qui cache à peine son bras cybernétique écarlate. Elle m’offre un bâton de nicotine. J’accepte, réalisant être, visiblement, trop habillé.
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Lyons : Le Club Madeleine, très joli, en passant, est, comme vous le savez, en dehors des limites du Redlight. Considérant que plusieurs institutions comme la vôtre sont considérées comme illégales et sont démantelées, quel est votre secret pour garder le Club ouvert ?

Moss : Merci, nous travaillons fort pour créer un espace agréable pour tous au Club. Les gens viennent, après tout, passer la soirée ici ! Pour donner une réponse, peut-être inintéressante, dirait-on, nous restons ouverts parce que nous payons les taxes du consulat et nous offrons des conditions exemplaires à nos employés.

Lyons : Connaissez-vous le gang du Club Galant ?

Moss : Bien sûr.

Lyons : Étiez-vous au courant que ce gang se serait formé juste après que la police aille tenter de fermer le club qui était auparavant ici, le Sainte-Madeleine ?

Moss : Oui.

Lyons : Êtes-vous affiliée à ce gang de rue controversé, madame Moss ? Est-ce pour cela que votre club est encore ouvert ?

Moss : Nous payons nos taxes, Monsieur Lyons. Le conseil de ville et le SPVM n’ont pas intérêt à s’attaquer aux résidents canadiens qui œuvrent légalement dans mon établissement.

Lyons : Bien sûr, madame Moss. Vous dites fréquemment que le succès du Club Madeleine est dû aux conditions de travail de vos employés et employées. Pouvez-vous m’en dire davantage sur ce sujet?

Moss : Nous sommes effectivement une des seules institutions du travail du sexe avec une main-d’œuvre syndiquée. Nous offrons des conditions de travail honnêtement enviables et nous […]

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