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Récupéré de : ‘Données publiques sur le crime organisé’ [spvm.cgm.ca]
Titre : Club Galant
Auteur : s.a.
Date : 04 janvier 2023
Nom : Club Galant
Classification : Gang, moyen (est. 100-200).
Activités : blanchiment d’argent, activisme, violence politique
Âge : Nouveau, actif.
Territoire : Plusieurs blocs. Village Gai (Ville-Marie) et Redlight (Downtown).
Croissance : augmentation
Symbole : Des lèvres rouges ou rose. Comme un bisou.
Couleurs : Vêtements noirs, ou denim. Les manteaux du gang sont imprimés avec le symbole du bisou du Club.
Le Club Galant est une organisation criminelle organisée à la suite d’une intervention policière du club Marie-Madeleine, qui offrait des services de prostitution illégaux. Les membres de Marie-Madeleine se sont organisés et ont incendié la station de police locale (Station VM-06).
Le Club Galant veille à la protection des travailleurs et travailleuses du sexe, ainsi que des membres de minorités sexuelles sur leur territoire. Généralement non dangereux, le Club ne devient violent que lorsqu’ils se défendent ou pour attaquer un accusé.
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Récupéré de : ‘Mise à Jour de Montréal’ [majdemontreal.com]
Titre : Une escouade de police trouvée morte dans le Redlight
Auteur : Pierre Saint-Michel
Date : 14 septembre 2022
14 septembre 2022. Trois policiers ont été retrouvés morts ce matin, annonce le SPVM. L’attaque, que le SPVM qualifie de « terroriste », aurait eu lieu aux petites heures du matin. L’autopsie révèle que la mort aurait été causée par balles et par traumatisme contondant.
Un passant interviewé par le Journal, qui a préféré rester anonyme, dit avoir été témoin de la scène :
« Sont arrivé avec deux voitures. Une a foncé dans le char de police, l’autre s’est parké en arrière. Y’a six, non, sept, gangoons qui sont sorti. Les policiers ont essayé de se défendre, mais ils devaient être trop sonné, y’ont pas eu le temps de réagir vraiment. Ils ont tiré, mais ça a pas duré longtemps.
J’étais déjà en train de partir quand j’ai vu qu’ils avaient maîtrisé un des policiers, l’ont mis à genou. Y’a une voix de fille, j’m’en souviens, elle a dit qu’elle faisait ça pour ce qu’il avait fait à Sophie. Pis après, elle a tiré. J’avais déjà tourné le coin, à ce moment-là. J’ai rien vu d’autre. »
La voiture de patrouille a été retrouvée vandalisée, adornée d’un graffiti de lèvres rose et du nom d’un des officiers défunts. Les autorités continuent l’enquête.
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Récupéré de : ‘Canadian Entrepreneur Magazine’ [entrepreneurmag.com]
Titre : Rencontre avec Elizabeth Moss, propriétaire d’un bordel hors-la-loi
Auteur : Richard Lyons
Date : 04 janvier 2023
Entrepreneure, femme d’influence… proxénète ? Elizabeth Moss est la propriétaire du Club Madeleine, un club ultrapopulaire du Village gai de Montréal, un des seuls bordels indépendants de l’île de Montréal. Plus encore, un bordel en dehors de la délimitation de 2017, qui permettait le travail du sexe dans le quartier voisin, le Redlight. Le Canadian Entrepreneur Magazine a fait un tour à Montréal, pour discuter avec cette figure qui donne espoir à plusieurs à travers du pays.
Mme Moss m’accueille dans son bureau. Les murs ternes sont mis en relief par un nombre d’accessoires et des répliques de l’œuvre de Roy Lichtenstein. Son assistant me guide à un sofa confortable dans son bureau. Elizabeth Moss porte un pantalon noir, couplé d’un débardeur fuchsia et d’une veste de denim qui cache à peine son bras cybernétique écarlate. Elle m’offre un bâton de nicotine. J’accepte, réalisant être, visiblement, trop habillé.
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Lyons : Le Club Madeleine, très joli, en passant, est, comme vous le savez, en dehors des limites du Redlight. Considérant que plusieurs institutions comme la vôtre sont considérées comme illégales et sont démantelées, quel est votre secret pour garder le Club ouvert ?
Moss : Merci, nous travaillons fort pour créer un espace agréable pour tous au Club. Les gens viennent, après tout, passer la soirée ici ! Pour donner une réponse, peut-être inintéressante, dirait-on, nous restons ouverts parce que nous payons les taxes du consulat et nous offrons des conditions exemplaires à nos employés.
Lyons : Connaissez-vous le gang du Club Galant ?
Moss : Bien sûr.
Lyons : Étiez-vous au courant que ce gang se serait formé juste après que la police aille tenter de fermer le club qui était auparavant ici, le Sainte-Madeleine ?
Moss : Oui.
Lyons : Êtes-vous affiliée à ce gang de rue controversé, madame Moss ? Est-ce pour cela que votre club est encore ouvert ?
Moss : Nous payons nos taxes, Monsieur Lyons. Le conseil de ville et le SPVM n’ont pas intérêt à s’attaquer aux résidents canadiens qui œuvrent légalement dans mon établissement.
Lyons : Bien sûr, madame Moss. Vous dites fréquemment que le succès du Club Madeleine est dû aux conditions de travail de vos employés et employées. Pouvez-vous m’en dire davantage sur ce sujet?
Moss : Nous sommes effectivement une des seules institutions du travail du sexe avec une main-d’œuvre syndiquée. Nous offrons des conditions de travail honnêtement enviables et nous […]
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