Historiquement, Griffintown est un quartier ouvrier à majorité irlandaise qui faisait partie du Sud-Ouest de Montréal. Durant la restructuration de Montréal en district, le nouveau gouvernement consulaire a séparé Griffintown et Petite-Bourgogne du reste du Sud-Ouest afin de permettre le développement d’un quartier luxueux à haut loyer. Des mégacorporations internationales comme Eurobank et Hilliard profitent du financement du gouvernement et ciblent le district pour transformer les quartiers ouvriers en quartiers de condos et de tours à bureaux.
En 2014, Montréal fait faillite et doit couper dans ses plans en immobilier d’après-Longue Crise. La plupart des sites de constructions sont immédiatement abandonnés alors que les corporations investissent ailleurs pour profiter des autres crises à Montréal. Plusieurs bâtiments sont encore incomplets à ce jour, le plus célèbre de ce type de bâtiment est sans aucun doute le Complexe Griffintown, le mégabâtiment luxueux qui était sensé devenir des bureaux qui a été abandonné en 2014. Près de 40,000 squatteurs y habitent maintenant.
La présence du Complexe Griffintown dans le district augmente la violence dans le district et, au final, a redescendu la valeur de l’immobilier dans le secteur. Créant une tapisserie étrange de classes sociales. Certaines des tours à condo des années 2010 ont été converties en appartements étroits à loyers modiques alors que d’autres attirent des goldenkids et des corpos. En 2020, le Grand Griffintown (qu’on appelle griffintown » ou même « gg ») est une tappiserie de vieux bâtiments du 19e siècles noyés dans le néon et écrasés par des tours de verre et des appartements de luxe. Le district est la représentation même de « gentrification. »
WorldSar takes no responsability for information provided on the PUBLIC DATABASE.
Issues with provided information are to be reported to local authorities. The PDB only searches the NET to provide users data and does not endorse the content it can provide users.